« Plus qu’un enjeu financier, il s’agit dès ce stade de reconstruire en pensant au Mayotte de demain », mentionne l’élue (Renaissance) mahoraise. Ont été parcourus, l’impact de Chido sur les réseaux essentiels (eau, électricité, télécommunications), les dégâts propres aux infrastructures publiques (hôpitaux, écoles, routes, ports, aéroport), les besoins des entreprises, la mobilisation des financements nationaux et européens pour la reconstruction, notamment du fonds RESTORE, déjà mobilisé pour La Réunion, en demandant « la garantie d’un suivi rigoureux des actions engagées et planification des étapes de manière logique, en anticipant le déploiement de la fibre optique ».
La sénatrice a par ailleurs insisté sur la nécessité d’entendre de nouveau le secteur des assurances « afin de faire la lumière sur la spoliation des cotisations d’assurance habitation des Mahorais. »