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Mamoudzou

Culture

Ambdilwahedou Soumaila : « Mamoudzou sera la ville du sport » 

Jeudi matin, le maire de Mamoudzou, Ambdilwahedou Soumaïla, a présenté l'agenda événementiel de la Ville pour cette année 2024, lors d’une conférence de presse à l'Hôtel de ville. A l’approche des Jeux olympiques, le maire de Mamoudzou a souhaité faire de la capitale mahoraise « une ville du sport ». 

Tribune – Mouhoutar Salim : « Barrages comme mode d’expression de la colère »

Dans cette tribune, un de nos chroniqueurs et écrivain mahorais, grand connaisseur de l’historique sanitaire du territoire, met en perspective la colère de la population ayant conduit à une ampleur sans précédent des blocages de l’île au regard des gains à en attendre

Loisirs : Les « enfants du jazz » passent à la télé !

Le festival Maore Jazz a innové en octobre 2023 en donnant l’occasion à 8 enfants de 7 à 15 ans de donner deux spectacles à Mamoudzou et à Labattoir. Ces spectacles ont donné lieu à un film qui sera diffusé ce mercredi 6 mars à 20h50 et ce dimanche 10 mars à 11h30 sur Mayotte la Première. Une avant-première du film a été diffusée ce mardi 5 mars au conseil départemental en présence de plusieurs personnalités du monde culturel et politique.

Tribune – « L’insécurité linguistique de l’acteur public mahorais »  

Voilà une tribune qui va faire réagir. L’écrivain Madi Abdou N’tro fait le constat d’une discrimination sociale engendrée par la plus ou moins grande maitrise de la langue française au sein de la société mahoraise. Qui peut conduire certains au mutisme. Comme solution, il propose l’introduction de quelques notions de shimaore et kibushi, seule façon de traduire au plus près les réalités mahoraises selon lui. Pas jusqu’à rebâtir une tour de Babel néanmoins, ce serait marginal. En espérant que nos grands-mères bretonnes ou alsaciennes qui se sont heurtées à la langue française, n’aient pas la même idée…

Hommage à Vincent Boullet, auteur d’une sommité de connaissances sur les végétaux de Mayotte

C’est un courrier touchant d’Abassi Dimassi, chargé de mission au Conservatoire botanique national de Mascarin qui a côtoyé le chercheur, qui nous a incité à revenir sur l’action d’un chercheur déterminant pour la connaissance de la flore locale. Vincent Boullet a également semé les graines de sa succession

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