Anne Perzo

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Interco’ Outre-mer appelle à « une mobilisation collective pour soutenir Mayotte »

Au bout de plusieurs semaines de manifestations contre l’insécurité, les colonnes de nos confrères nationaux s'ouvrent de nouveau au contexte, évoquant « la longue dégradation de la sécurité à Mayotte »

Gabriel Attal à l’Assemblée nationale : « La situation à Mayotte est insupportable »

Pour obtenir des mesures du gouvernement au contexte dénoncé par les Forces vives, il faut passer par les élus et le préfet, invite le Premier ministre

De la crise de l’eau à la crise sociale : la Sécu continue à accompagner les entreprises

Comme quoi les médias servent à quelque chose puisque c’est à la suite de la prise de parole de Bourahima Ali Ousseni, président de...

Technopôle : bien que livrée, un recours contre l’attribution du marché était jugé ce mardi…

Alors que le chantier de la Technopôle de Dembéni est clos, un recours était jugé au tribunal administratif ce mardi, celui du duo OPALE-ALSEI/Hold Invest contre la Chambre de Commerce et d’Industrie de Mayotte (CCIM)/SASU Mayotte Technopôle

Violences de nouveau ce mardi à Mamoudzou

Après un lundi qui a vu des bandes s'affronter, de nouveaux actes de violence ont eu lieu ce mardi dans la commune chef-lieu. Vers midi,...

Breaking

« Lever les tabous et se concentrer sur ce qui est possible »

En visite à la société Dagoni Services ce jeudi 2 octobre, le président de l’Agefiph, Christian Ploton, a salué l’engagement de l’entreprise qui démontre qu’il est possible de recruter et d’accompagner des personnes en situation de handicap. Grâce à un diagnostic-action, cinq salariés concernés ont pu bénéficier d’aménagements favorisant leur épanouissement. Dans un département où le taux d’emploi des personnes handicapées reste inférieur à 1 %, l’Agefiph entend faire de cet exemple un levier pour encourager d’autres entreprises à s’engager dans l’inclusion.

Grève dans l’Éducation nationale : “Un acompte ce n’est pas un salaire !”

À Mamoudzou, les personnels de l’Éduaction nationale ont participé au mouvement de grève nationale du 2 octobre. Devant le rectorat, ils ont dénoncé des salaires non payés ou amputés depuis plusieurs mois. Plusieurs syndicats, dont le FSU-SNUipp, la CGT Éduc’action et l’Unsa Éducation, se sont joints au mouvement pour réclamer des explications et des solutions rapides.

« Si la population perçoit les bus comme des espaces d’insécurité, leur succès pourrait être freiné », alerte Mohamed Hamissi

« Pas de sécurité, pas de mobilité ». C’est en substance la mise en garde de l’ingénieur qui en a fait sa spécialité. Le nombre de ses alertes dans nos colonnes, sur les mesures à prendre pour assurer la sécurité des usagers des transports publics, interpelle. Les faits violents du 15 septembre dernier lui donnent hélas raison. L’occasion de repréciser les compétences dans ce domaine

Grève du 2 octobre à La Réunion : l’inquiétude budgétaire grandit

Sous les drapeaux syndicaux, les rues de Saint-Denis ont vibré au rythme des slogans et des revendications.
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