Une meilleure reconnaissance des CCAS pour la gestion des crises
Un plan d’un montant de 341 millions d’euros sur 5 ans a été annoncé pour renforcer les moyens d’action sociale, l’ensemble des partenaires a souligné la nécessité de « reconnaître davantage les CCAS dans la loi pour leur permettre d’agir efficacement en temps de crise ».
Les actions promises des partenaires

L’ACTAS a précisé qu’elle allait « activer l’ingénierie des CCAS hexagonaux pour soutenir l’accompagnement psychologique des agents », tout en développant « un projet de sécurité sociale alimentaire à destination des publics les plus précaires ».
L’UDAF a appelé à « mettre en place une observation de la demande sociale » pour mieux évaluer les besoins de la population et adapter les réponses.
Le GIP Europe a proposé « une rencontre avec l’UDCCAS afin de réfléchir ensemble aux projets de fonctionnement » à renforcer ou à initier.
La CSSM s’est engagée à « mobiliser l’ARS, le Département et d’autres partenaires pour intégrer pleinement les propositions du plan Marshall ».
Un rassemblement des acteurs sociaux pour une solution commune en temps de crise
Enfin, un consensus s’est dégagé autour de la nécessité de « programmer une rencontre entre les CCAS et l’ensemble des acteurs sociaux afin de définir une solution commune d’intervention en temps de crise ». Cette conférence marque ainsi une étape importante dans la structuration des réponses sociales à Mayotte, dans un contexte où les besoins sont croissants et appellent des solutions coordonnées et ambitieuses.
Nayar Said Omar