A la suite du courrier du ministre de l’Intérieur, le député mahorais se dit « disponible » pour travailler à l’ensemble de mesure, notamment sur le projet de loi Mayotte, et avant toute démarche des domaines réservés à la présidence de la République, souhaite que les élus nationaux et locaux soient reçus.
Dans son courrier, le ministre parle d’un projet de loi « urgence » pour Mayotte, présenté en conseil des ministres le 22 mai, « je souhaite qu’il soit inscrit à l’ordre du jour du Parlement le lendemain ».
Idem pour la suppression du droit du sol, son inscription au prochain ordre du jour du Congrès est demandée, le ministre avait parlé des occasions que pourraient représenter l’évolution constitutionnelle sur l’IVG ou la Corse.
Mansour Kamardine préconise de lister ce qui relève des décisions gouvernementales et non parlementaires, le déploiement du ‘rideau de fer’, les opération Shikandra 2 et Wuambushu 2.
Enfin, étant donné les champs interministériels que recouvre la loi Mayotte, la nommination d’un « négociateur de haut niveau » auprès des ministres de l’Intérieur et déléguée à l’Outre-mer semble « pertinent » au député.
A.P-L.