Selon le journal Libération, une information judiciaire pour « escroquerie en bande organisée », « abus de position dominante » et « entente » a été ouverte contre le groupe Bernard Hayot (GBH). « Les juges d’instruction tentent également de faire la lumière sur d’éventuelles pratiques d’entente entre GBH et certains de ses concurrents ultramarins », relate le quotidien.
Dans un communiqué GBH indique « avoir pris connaissance, par la presse, de l’ouverture d’une information judiciaire le visant notamment pour « entente », « abus de position dominante » et « escroquerie».
Cette procédure fait suite au dépôt de plaintes avec constitution de partie civile de plusieurs syndicats. Comme évoqué lors de la médiatisation de la plainte initiale, GBH conteste fermement, y compris devant la justice, ces allégations et coopérera pleinement avec les autorités judiciaires afin de démontrer le caractère infondé de ces accusations.
GBH tient à rappeler qu’il a toujours agi dans le strict respect de la législation applicable, y compris en matière de droit de la concurrence. GBH n’a jamais fait l’objet d’aucune sanction pour manquement à ses obligations en la matière ».


