Le SDIS de Mayotte annonce la fin du droit de retrait des sapeurs-pompiers à Kahani

Ce jeudi matin, le Président du Conseil d’Administration de Service d’Incendie et de Secours (PCASDIS) a réuni les agents du SDIS 976 à Kahani, pour communiquer sur le mouvement du droit de retrait. Les différents points soulevés par les sapeurs-pompiers ont été examinés, en particulier ceux relatifs aux : lits picots ; la climatisation ; la potabilisation de l’eau courante de la caserne ; l’insécurité.

En ce qui concerne les lits picots, dans l’attente de la livraison des soixante lits commandés pour le mois de juin destinés au Centre de Kahani, le PCASDIS a œuvré pour la réception de treize matelas ce jeudi à 11H02 à la caserne de Kahani.
Le problème de la climatisation a été identifié à ce jour et une entreprise a été démarchée afin de corriger les dysfonctionnements électriques dans un délai de quinze jours.

Quant à l’eau potable, le PCASDIS et la direction, ont établi une convention avec une entreprise chargée de résoudre le problème sous quinze jours.
Enfin, le PCASDIS demande patience et solidarité aux agents dans l’attente de renforcement sécuritaire, prévoyant de multiplier les caméras de vidéosurveillances.

Partagez l'article :

spot_imgspot_img

Les plus lus

Publications Similaires
SIMILAIRES

700 millions d’euros annoncés pour le dispositif PITE à Mayotte en 2026

Au mois de novembre lors de son audition en...

Le concert de Noël des « Chandeliers » se tiendra à Mamoudzou

Un concert de Noël ouvert à tous sera donné le 7 décembre par la chorale "Les Chandeliers" à l’église Notre-Dame de Fatima, à Mamoudzou.

Lutte contre les fraudes : le CODAF a multiplié par cinq ses opérations en un an

La réorganisation du CODAF autour de trois axes — lutte contre l’immigration clandestine, sécurité publique et fraude — a renforcé la coordination entre les services et accru leur capacité d’intervention. Cet effort doit désormais se traduire par des actions concrètes devant la justice.

VIH à Mayotte, quand le virus profite de la précarité

Sur l’île, la circulation du VIH reste préoccupante et les populations vulnérables, trop souvent invisibles, subissent les conséquences d’un accès aux soins encore inégal.