30.8 C
Mamoudzou

La Chambre d’Agriculture de Mayotte reprend la campagne d’identification des bovins

La direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt (DAAF) rappelle à tous les éleveurs de bovins qu’une boucle doit être présente sur chaque oreille de l’animal et une notification établie pour permettre l’enregistrement de l’information sur la Base de Données nationale d’identification (BDNI). Cette identification est obligatoire, en échange de quoi l’éleveur obtient un passeport pour chaque animal.

Cette campagne d’identification est gratuite et le sera encore jusqu’à la fin de l’année 2023. En revanche, à compter du 1er janvier 2024 une participation financière sera demandée pour toute nouvelle identification à raison de 5 euros par animal. La campagne se terminera le 31 décembre 2024. Aussi, tout animal non identifié après cette date, sera considéré comme illégal et son propriétaire fera l’objet de poursuites pouvant conduire à des sanctions administratives et / ou pénales. Des contrôles seront ainsi menés dès le 1er janvier 2025.

Par ailleurs, la DAFF précise que « Tout mouvement d’un animal doit également être notifié, que ce soit la vente, l’abattage ou la mort. Tout animal non identifié ou mal identifié constitue une infraction à la loi et conduit à des poursuites administratives ou pénales de l’éleveur ». L’identification constitue donc une sécurisation pour l’activité d’élevage.

Partagez l'article:

Les plus lus

Articles similaires
Similaire

SMAE – Nouvelles perturbations de la distribution d’eau dans le Nord-Ouest

La Mahoraise des Eaux informe les usagers des villages...

Mon Pouleti lance une gamme de charcuterie « 100% poulet », certifiée halal 

Pour le lancement de sa gamme de charcuterie, l’entreprise Mon Pouleti a ouvert les portes de son usine aux médias

Parcoursup : l’académie de Mayotte au chevet des lycéens de Petite-Terre

Les élèves de Terminale ont reçu leur première proposition...

Élection au Medef Mayotte : une présidence très disputée

Pour l'instant il n'y a que deux candidats à la présidence du patronat local, mais ils sont en train de fourbir leurs armes. Carla Baltus se représente, avec, face à elle, Nizar Assani Hanaffi qui dénonce des irrégularités. Les statuts du syndicat patronal sont au centre des enjeux
WP Twitter Auto Publish Powered By : XYZScripts.com