Le temps judiciaire n'est pas au beau fixe pour les élus de Tsingoni. Après Mohamed Bacar, c'était au tour d'Ibrahim Boinahery d'être appelé à la barre.

L’ancien maire de Tsingoni, Ibrahim Boihanery était accusé de faux et usage de faux, de détournement de fonds publics, de délit de favoritisme, et de corruption passive pour des faits qui se sont déroulés en 2011.

Après plusieurs années de procédure judiciaire, le tribunal l’a condamné à 12 mois de prison avec sursis, 30.000 euros d’amende et trois ans d’inéligibilité. Il a été relaxé des faits de faux et usage de faux et de détournement de biens public, mais reconnu coupable des faits de favoritisme et de corruption passive.

Nous reviendrons plus en détail sur ce procès dans notre édition de demain mercredi.