Donner un cadre à la sécurité routière

Les acteurs locaux mobilisés dans la sécurité routière ont signé le document général d’orientation (DGO) pour les années 2023-2027.

Le Gouvernement, dans la continuité des actions décidées lors du comité interministériel de la sécurité routière (CISR) du 2 octobre 2015, réaffirme régulièrement depuis, les priorités d’action pour réduire l’accidentalité sur les routes :

  • intensifier la lutte contre les comportements dangereux,
  • protéger les usagers les plus vulnérables,
  • favoriser l’innovation pour améliorer la sécurité routière,
  • donner l’assurance que tous les usagers de la route sont égaux devant la loi.

Les documents de planification départementale de la politique locale de sécurité routière sont établis pour une période de 5 ans, c’est le cas du document général d’orientation (DGO) pour les années 2023-2027. Il est actuellement signé par les acteurs locaux mobilisés dans la sécurité routière, « il illustre la volonté de renouveler un engagement collectif pour rendre nos routes plus sûres », indique la préfecture qui ne parle pas là de caillassages, mais bien de sécurité routière.

Marie Grosgeorge, directrice de cabinet du préfet a salué la mobilisation des collectivités territoriales, associations, entreprises, assurances, structures sociales « qui œuvrent aux côtés des services de l’État pour faire reculer l’insécurité routière et les drames qui l’accompagnent. »

L’appel à projets départemental d’actions en faveur de la sécurité routière va être bientôt lancé, tous les porteurs de projet peuvent candidater.

Partagez l'article :

spot_imgspot_img

Les plus lus

Publications Similaires
SIMILAIRES

Grève des barges : confusion, colère et tensions sur les quais

Ce lundi, une grève illimitée a fortement perturbé les traversées entre Dzaoudzi et Mamoudzou. Les rotations ont été réduites, l’information aux usagers a manqué et la tension est montée aux débarcadères. Passagers et conducteurs ont attendu plusieurs heures sous le soleil pour espérer embarquer, dans une atmosphère d’incompréhension, de fatigue et de colère.

Mayotte n’a pas « raflé » l’aide européenne : elle a encaissé le cyclone le plus dévastateur de son histoire

Derrière les chiffres de Bruxelles, une réalité physique et humaine saute aux yeux : Chido a pulvérisé un territoire déjà fragilisé. Si l’Union européenne accorde quatre fois plus à Mayotte qu’à La Réunion, c’est parce que le désastre y a été total — et structurel.

Du Togo aux Seychelles : six jeunes de Mayotte partent pour des missions internationales

Le Togo, Maurice et les Seychelles, dans quelques mois, 6 volontaires du programme Territoires Volontaires (TeVo), rejoindront l'une de ces destinations pour une durée de 8 à 12 mois. Ce lundi 6 et mardi 7 octobre, ils préparent leur voyage lors d'un stage de deux jours au Comité Régional Olympique et Sportif de Mayotte.

Des décombres à l’émotion : le cyclone Chido revisité par la création artistique

À l’Office du Tourisme de Mamoudzou, l’exposition “Les mémoires du vent” a été inaugurée vendredi soir. Elle a rassemblé peintures, photographies et installations sur le thème du passage du cyclone Chido, qui a dévasté Mayotte le 14 décembre 2024. Les artistes ont offert un espace de mémoire et de résilience à une population encore marquée par la catastrophe.