Édouard Philippe avait par le passé, en mars 2018, présenté ce plan Plan interministériel, élaboré en concertation avec les acteurs de la société civile, ainsi que les institutions indépendantes.
Quatre-vingts actions vont être mise en œuvres autour de cinq axes majeurs que sont nommer la réalité du racisme, de l’antisémitisme et des discrimination ; mesurer les phénomènes de racisme, d’antisémitisme et des discriminations ; mieux éduquer et mieux former ; sanctionner les auteurs et enfin accompagner les victimes.
Pour cela plusieurs mesures vont être mises en œuvre parmi lesquelles la garantie pour chaque élève de bénéficier d’une visite historique ou mémorielle liée au racisme. L’ensemble des agents de la fonction publique d’Etat seront aussi formés à ces enjeux. Mais aussi la mise en place d’une vraie politique de testing, ainsi que la facilitation du dépôt de plainte par les victimes, ou encore l’aggravation des peines en cas d’expression raciste ou antisémite (commise par des personnes dépositaires de l’autorité publique dans l’exercice de leur fonction).
Le gouvernement entend ainsi lutter contre la haine et contre l’ensemble des discriminations