Arrêt technique de deux barges : limitation du nombre de véhicules embarqués pendant 4 mois

Ce sont deux amphidromes nouvelle génération qui partent en arrêt technique, annonce le Conseil départemental. Voilà qui va perturber pendant 4 mois les allers-retours entre Petite et Grande Terre.

Les barges Polé puis Karihani vont devoir subir un Arrêt Technique majeur obligatoire pendant la période s’étalant du lundi 7 mars 2022 au lundi 11 Juillet 2022, informe le CD. Elles sont pour l’occasion remorquées vers un chantier naval à Maurice, le STM n’ayant pas prévu de capacité suffisante dans sa cale sèche lors de l’achat des derniers amphidromes. Elles  partiront en décalé à Maurice, informe le CD, « afin d’assurer le mieux possible la continuité du Service ces barges ».

Des perturbations seront donc à prévoir aux heures de pointe durant cette période.

Le CD demande aux usagers de prévoir en conséquence leurs déplacements aux heures dites sensibles, « et de se déplacer si possible sur des créneaux horaires moins chargés. Conscient de la gêne occasionnée le STM met tout en œuvre pour pallier ces indisponibilités qui font partie du cycle de vie d’une barge afin de continuer dans le futur à assurer un service de qualité aux usagers. »

A.P-L.

Partagez l'article :

Subscribe

spot_imgspot_img

Les plus lus

More like this
Related

À Ongojou, des parents d’élèves boycottent l’école

Dès le lundi 25 août 2025, un collectif appelle à un blocage symbolique de l’école pour dénoncer des conditions jugées « indignes ».

Les résultats du concours de gardien-brigadier de police municipale publiés

Les résultats du concours professionnel de gardien-brigadier de police...

Première crèche municipale à Mamoudzou : une réponse aux besoins pressants de la petite enfance

La première pierre de la toute première crèche municipale de Mamoudzou a été posée ce mercredi 20 août, dans le quartier de M’Gombani. Ce futur établissement, d’une surface de 350 m² répartis sur deux niveaux, pourra accueillir 24 enfants et devrait ouvrir ses portes à la rentrée 2026. Avec près de 10.000 naissances enregistrées chaque année, le territoire a plus que jamais besoin de développer ses structures d’accueil pour la petite enfance.