Lancement de la 5e campagne « Prime à Vélo » de la CADEMA

Cette initiative vise à encourager l’usage du vélo comme alternative pratique, économique et écologique à la voiture individuelle et s’inscrit dans une stratégie globale de transformation des mobilités à l’échelle intercommunale, visant à favoriser des modes de déplacement plus durables, inclusifs et accessibles à l’ensemble des habitants.

Dans un contexte de congestion routière importante, notamment sur les trajets domicile-travail vers Mamoudzou, la CADEMA propose aux résidents de son territoire une aide financière allant de 150 à 600 euros pour l’achat d’un vélo classique ou électrique.

Les bénéficiaires peuvent utiliser leur bon d’achat auprès de partenaires locaux : Akxion Cycles, Mob’helios Mayotte, Tecma, Sima Sarl et Intersport.

Conditions d’éligibilité : être résident du territoire de la CADEMA.

Les demandes peuvent être effectuées sur le site de la CADEMA, par mail ou directement à l’accueil du siège de la CADEMA, du lundi au vendredi, de 8h à 12h et de 13h à 16h30.

Pour toute information complémentaire : 0269 53 00 00 /demandeprimevelo@cadema.yt

Partagez l'article :

spot_imgspot_img

Les plus lus

Publications Similaires
SIMILAIRES

Grève des barges : les syndicats dénoncent des « provocations » dans un communiqué

Dans un communiqué publié ce mardi 7 octobre, la CFTC et la FSU Mayotte évoquent des tensions avec la hiérarchie et réaffirment leurs revendications dans le cadre du mouvement de grève à la DTM.

Solidarité et initiatives féminines : rendez-vous ce dimanche à Musicale Plage

L’association Les Femmes Dynamiques organise ce dimanche 12 octobre,...

Grève des barges : le préfet porte plainte pour non-respect de la réquisition préfectorale

Le service des barges n’a pas démarré ce mardi 7 octobre malgré la réquisition préfectorale, entraînant des risques pour la continuité territoriale et les urgences, selon la préfecture.

Grève des barges : confusion, colère et tensions sur les quais

Ce lundi, une grève illimitée a fortement perturbé les traversées entre Dzaoudzi et Mamoudzou. Les rotations ont été réduites, l’information aux usagers a manqué et la tension est montée aux débarcadères. Passagers et conducteurs ont attendu plusieurs heures sous le soleil pour espérer embarquer, dans une atmosphère d’incompréhension, de fatigue et de colère.