« Petite-Terre en Modes Doux », de retour pour une deuxième édition

La Communauté de Communes de Petite-Terre organise le samedi 14 juin la deuxième édition de « Petite-Terre en Modes Doux », un événement convivial dédié à la promotion des mobilités douces, appelées aussi mobilités actives, telles que la marche et le vélo.

Stands, ateliers et parcours sportifs

Rendez-vous à la Place de France à Dzaoudzi dès 10 h pour suivre des animations, des stands de prévention santé et environnement, et des ateliers de sensibilisation proposés par l’Office de Tourisme de Petite-Terre, l’association Petite T’espoir, la CCAS de Pamandzi, Profession Sport et Loisirs Mayotte (ateliers sportifs), Nariké M’Sada (dépistage VIH et hépatite B), Hawa Mayotte (sensibilisation à la qualité de l’air) et Amalca (prévention du cancer du col de l’utérus).

A 14 h, départ de la marche collective de la Place de France vers la Place des Congrès à Pamandzi. Les balades à vélo débuteront à 15 h également en direction de Pamandzi. Enfin un fitness géant se tiendra à partir de 16 h Place des Congrès à Pamandzi.

Cette journée est gratuite et ouverte à toutes et à tous. « C’est l’occasion de se mobiliser ensemble pour une Petite-Terre plus active, plus saine, et plus respectueuse de son environnement », souligne la CCPT.

Organisé trois fois par an, ce rendez-vous a pour objectif de sensibiliser les habitants aux bienfaits de l’activité physique sur la santé, tout en encourageant des pratiques de déplacement respectueuses de l’environnement et de la qualité de l’air.

Un événement qui s’inscrit dans les ambitions de la transition écologique

Aussi appelés modes actifs, les modes doux désignent tous les déplacements non motorisés et non polluants, qui sollicitent la force humaine ou des moyens de transport légers. Cela inclut principalement la marche à pied, le vélo, la trottinette, ou encore les engins de déplacement personnels non motorisés.

En plus d’être bons pour la santé, ils sont aussi bénéfiques pour la qualité de l’air, la réduction des nuisances sonores, et la préservation de l’environnement.

« L’événement s’inscrit pleinement dans les ambitions de la transition écologique portées par la Communauté de Communes de Petite-Terre, ainsi que dans la mise en œuvre du Plan de Mobilité Simplifié (PMS) et du Schéma Directeur Cyclable, tous deux élaborés à l’échelle de Petite-Terre, en cohérence avec le Plan Global de Transports et de Déplacements (PGTD) de Mayotte », précise la CCPT, « ces trois outils structurants visent à faire du territoire un modèle de mobilité durable ».

Partagez l'article :

spot_imgspot_img

Les plus lus

Publications Similaires
SIMILAIRES

Grève des barges : confusion, colère et tensions sur les quais

Ce lundi, une grève illimitée a fortement perturbé les traversées entre Dzaoudzi et Mamoudzou. Les rotations ont été réduites, l’information aux usagers a manqué et la tension est montée aux débarcadères. Passagers et conducteurs ont attendu plusieurs heures sous le soleil pour espérer embarquer, dans une atmosphère d’incompréhension, de fatigue et de colère.

Mayotte n’a pas « raflé » l’aide européenne : elle a encaissé le cyclone le plus dévastateur de son histoire

Derrière les chiffres de Bruxelles, une réalité physique et humaine saute aux yeux : Chido a pulvérisé un territoire déjà fragilisé. Si l’Union européenne accorde quatre fois plus à Mayotte qu’à La Réunion, c’est parce que le désastre y a été total — et structurel.

Du Togo aux Seychelles : six jeunes de Mayotte partent pour des missions internationales

Le Togo, Maurice et les Seychelles, dans quelques mois, 6 volontaires du programme Territoires Volontaires (TeVo), rejoindront l'une de ces destinations pour une durée de 8 à 12 mois. Ce lundi 6 et mardi 7 octobre, ils préparent leur voyage lors d'un stage de deux jours au Comité Régional Olympique et Sportif de Mayotte.

Des décombres à l’émotion : le cyclone Chido revisité par la création artistique

À l’Office du Tourisme de Mamoudzou, l’exposition “Les mémoires du vent” a été inaugurée vendredi soir. Elle a rassemblé peintures, photographies et installations sur le thème du passage du cyclone Chido, qui a dévasté Mayotte le 14 décembre 2024. Les artistes ont offert un espace de mémoire et de résilience à une population encore marquée par la catastrophe.