L’artiste Saraflexx sort sort un 3è opus, « Bobo »

Pour les amateurs de romance chantée et d’un je t’aime moi non plus entre garçons et filles, le dernier tube de la jeune artiste mahoraise Saraflexx, « Bobo », vient de sortir.

Elle est produite Erazed du Kani Keli studio, créé en 2023, comme Maliza, Jack Da, Kamal, Gringo la D.

En décembre dernier, dans le contexte prononcé d’insécurité et de violence à Mayotte, Saraflexx chante « 3 morts en moins d’un mois. Voici où on en est. Mayotte connaît des violences sans précédent qui s’accentuent de jours en jours. Certains ont décidés de fermer les yeux face à la situation et laisser ces malfrats se servir de leurs armes. Me concernant je n’ai pas d’arme. Mais en exprimant ma douleur je fais un pas. Je la chante. C’est toujours mieux que de fermer les yeux. Ma voix est donc mon arme à moi. Comme beaucoup d’entre nous, cette situation me fait mal. Mayotte tu me manques… ». Le titre « Bassi » (STOP) est né.

Avec « Bobo« , les peines de coeur reprennent le dessus, « Mon cœur saigne, ne fais pas bobo », avec des paysages idylliques de Mayotte, notamment des îlots Choisil.

Partagez l'article :

spot_imgspot_img

Les plus lus

Publications Similaires
SIMILAIRES

Des élèves du lycée agricole de Coconi en mobilité à Beira au Mozambique

Une première pour le lycée agricole de Coconi. Depuis...

« Nous avons un volcan exceptionnel », des étudiants de Mayotte à bord du Marion Dufresne pour observer le Fani Maoré

Quatre étudiants de Mayotte participent à la 33ᵉ campagne scientifique MAYOBS du REVOSIMA, à bord du navire Marion Dufresne. Depuis 2019, la mission scrute le volcan sous-marin Fani Maoré, à l’origine de séismes fréquents sur le territoire, en collectant des données sur le fond marin et la colonne d’eau. Une immersion unique qui leur permet de découvrir concrètement le travail des chercheurs et l’importance de mieux comprendre l’activité volcanique de l’archipel.

Barges : repenser le modèle du transport Maritime ? 

Face à la paralysie provoquée par la grève des barges, la Communauté de communes de Petite-Terre (CCPT) déplore un "laisser-aller" dans la gestion du service public et alerte sur la nécessité d’une refonte globale de la DTM.