Les hospitaliers manifestent leur soutien au chirurgien agressé

A midi tapante ce jeudi, et à l’initiative de la Commission médicale d’Établissement (CME), le personnel hospitalier avait répondu présent pour manifester devant les urgences de l’établissement. Il s’agissait d’une réponse à l’agression dont a été victime le docteur Sorin Zavoianu, chirurgien orthopédiste et traumatologue au CHM dans la nuit de samedi à dimanche dernier. Il était présent à la mobilisation du jour.

« Il est inadmissible que l’on puisse agresser quelqu’un qui n’est là que pour soigner les autres et tout le monde, sans distinction. C’est pourquoi toute la communauté hospitalière est solidaire avec ce médecin », expliquait devant les micros Jean-Matthieu Defour, directeur général du Centre Hospitalier de Mayotte.

Beaucoup d’éléments ont été mis sur le tapis lors des interviews, notamment pour sécuriser les soignants qui assurent des gardes de nuit, nous y reviendrons.

A.P-L.

Partagez l'article :

Subscribe

spot_imgspot_img

Les plus lus

Publications Similaires
SIMILAIRES

Benoît Gars prend la direction du stratégique Établissement public de reconstruction de Mayotte

Son nom était attendu depuis que le gouvernement a décidé d’une mutation de l’EPFAM en un Établissement public de reconstruction et de développement de Mayotte (EPRDM) : Benoît Gars prend les commandes d’une structure aux pouvoirs élargis

Petite-Terre privée d’eau depuis mercredi : l’usine de dessalement enchaîne les pannes

Petite-Terre est privée d’eau ce vendredi 29 août après un nouvel incident nocturne à l’usine de dessalement, annonce la SMAE.

TMCO : le Centre-Ouest de Mayotte s’offre son réseau de bus

Après Caribus lancé par la CADEMA, la 3CO riposte avec un projet structurant qui veut rééquilibrer l’île.

(Re)construction : publication des premiers arrêtés sur les aides aux collectivités

Enfin de l’aide sonnante et trébuchante ! Alors que la visite de Manuel Valls est confirmée pour ce lundi 1er septembre, il était temps de rassurer. La situation devenait intenable pour les maires qui avaient engagés des investissements sur promesse de l'Etat. Mamoudzou, Chiconi, Petite Terre et Sada sont les premières servies.