Selon le site du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, presque un néo-bachelier sur cinq change d’académie au moment de son entrée dans l’enseignement supérieur. En effet, le principal souci reste la possibilité de poursuivre dans la formation de son choix… Cela nécessite une préparation en amont, a fortiori pour les futurs étudiants vivant dans les Outre-mer. Ces derniers doivent faire face à des défis supplémentaires, notamment d’adaptation, pour ceux qui choisissent de poursuivre leurs études en mobilité et plus particulièrement dans l’Hexagone.
« Chaque année, après la publication des résultats du baccalauréat, nous constatons que certains jeunes n’ont pas finalisé correctement leurs préparatifs pour l’entrée dans l’enseignement supérieur ou professionnel. À Mayotte, le manque de places et la diversité limitée des offres de formation contraignent de nombreux jeunes à poursuivre leurs études en France métropolitaine, à La Réunion ou ailleurs », indique la présidente de l’AEJM, Tatyana Ali Mdahoma.
Aussi, le service social de l’AEJM reste disponible pour fournir informations et assistance à tous les jeunes et leurs familles. D’ailleurs, de nombreux rendez-vous sont prévus tout au long de l’été afin de les informer et de les accompagner au mieux.
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