Une nouvelle barge en service : « Nahouda » réquisitionnée par le préfet pour les liaisons Grande-Terre – Petite-Terre

« Lors du passage du cyclone Chido, les éléments climatiques ont significativement endommagé les barges utilisées par la STM pour assurer la liaison maritime entre la Petite-Terre et la Grande-Terre. Depuis le 7 janvier, 2 barges sur 5 sont opérationnelles, ce qui constitue une difficulté importante pour la mobilité entre les îles », note la préfecture, ce dimanche 16 mars

« Afin d’appuyer les acteurs locaux en charge de la mobilité, François Xavier Bieuville, préfet de Mayotte, a pris un arrêté préfectoral pour réquisitionner la barge “Georges Nahouda” de la société des transports maritimes. A la suite d’une inspection technique menée sur le navire, il a été conclu que cette barge pouvait être mise en exploitation dès ce lundi 17 mars au service de la population ».

« Outre la barge Nahouda, une quatrième barge “Biwi”, propriété de la société Colas, est actuellement en cours de réparation et sera également réquisitionnée dès sa remise en service, afin de poursuivre la fluidification de la liaison maritime ».

« Les travaux de réparation se poursuivent sur les autres barges afin de permettre un retour progressif à la pleine capacité ».

Partagez l'article :

Subscribe

spot_imgspot_img

Les plus lus

More like this
Related

Violences à Dembéni : cinq mineurs interpellés et jugés en octobre 2025

Le 31 mars dernier, des violences graves ont été perpétrées à l'encontre des gendarmes de Mayotte. Cinq mineurs seront jugés en octobre prochain pour leur participation à ces faits, selon un communiqué du parquet.

Un homme perd la vie lors de son intervention sur un poteau électrique à Kahani

Un homme est décédé ce vendredi 18 avril dans...

Le projet de la piste longue divise : Bouyouni ou Pamandzi, les débats font rage

Les tensions sont montées autour du projet de la piste longue à Mayotte. Entre intérêts économiques, environnementaux et les préoccupations de la population, élus et citoyens se sont livrés à de vrais affrontements verbaux pour déterminer le site idéal : Bouyouni ou Pamandzi.