Le CCAS de Labattoir organise des « chantiers d’insertion »

Le Centre Communal d’Action Sociale de Labattoir organise des chantiers d’insertion tout au long de l’année depuis 2021. Ils permettent aux demandeurs d’emploi de travailler et aux personnes vulnérables de pouvoir bénéficier de travaux à moindre coût.

<img class="size-medium wp-image-50965" src="https://lejournaldemayotte.yt/wp-content/uploads/2024/11/Capture-decran-2024-11-06-161525-290×300.png" alt="CCAS de Labattoir" width="290" height="300" /> Les bénéficiaires des travaux réalisés par les salariés en insertion sont majoritairement des personnes âgées ou handicapées
<p style="text-align: justify;">Ce mercredi 6 novembre, le maire de Labattoir Mikidache Houmadi, s’est rendu sur les chantiers d’insertion organisés par le CCAS de Labattoir afin de mettre en lumière le travail des agents. Le CCAS organise des chantiers d’insertion depuis 2021, tout au long de l’année, afin de permettre aux personnes sans emploi et rencontrant des difficultés sociales et professionnelles de pouvoir reprendre une activité payée au SMIC horaire. Cette année, 20 salariés en insertion, choisis par les assistantes sociales du CCAS, travaillent ainsi chez des personnes âgées ou handicapées, afin de réaliser des travaux de rénovation chez eux à raison de 26 heures par semaine.</p>
<p style="text-align: justify;"><strong>Des chantiers financés par l’Etat via la DEETS</strong></p>

<img class="size-medium wp-image-50966" src="https://lejournaldemayotte.yt/wp-content/uploads/2024/11/Capture-decran-2024-11-06-161133-300×268.png" alt="CCAS de Labattoir" width="300" height="268" /> Ces chantiers consistent principalement en des travaux de rénovation en maçonnerie
<p style="text-align: justify;">Le travail des salariés en insertion est financé par la DEETS, le CCAS ne demandant qu’une petite participation de 8% aux personnes chez qui se rendent les salariés. « Cela s’élève à 100 ou 200 euros maximum », précise Chakila Msa, la directrice du CCAS de Labattoir. Cette action avait été saluée par l’Etat, permettant de faire passer le nombre de salariés de 12 à 20 en 2024. La plupart sont des jeunes de 16 à 25 ans, mais quelques personnes plus âgées y participent également.</p>

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