Kemba
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Océan indien : Neuf pays mobilisés dans un exercice test sur la sécurité maritime
Les Comores, Djibouti, Kenya, Madagascar, Maurice, Mozambique, France/Réunion, Seychelles et la Tanzanie s'organisent pour mieux assurer la sécurité des eaux de l’Océan indien contre les trafics des produits illicites. Le Centre régional de fusion d’informations maritimes (CRFIM), basé à Madagascar et le Centre régional de coordination des opérations (CRCO) qui se trouve aux Seychelles ont été mis à profit dans le cadre de cet exercice financé par le projet CRIMARIO II de l’Union européenne
Comores : le choléra fait 82 décès dans un contexte de fortes inondations
Le bilan actualisé par l’unité de surveillance de l’épidémie inquiète les autorités sanitaires et politiques. La journée du mardi 30 avril a été marquée par la mort de dix personnes sur l’île d’Anjouan, soit le plus lourd bilan enregistré depuis le 4 février, date à laquelle le choléra a été déclaré officiellement aux Comores. Le pays doit aussi faire face à une tempête tropicale dans les prochains jours
Comores : les inondations ont fait un mort et des dégâts immenses
Un enfant a été emporté par les eaux à Anjouan. Des localités ont été inondées alors que des dizaines de sinistrés ont été évacués. La Direction générale de la sécurité civile continue à recenser les dégâts, évalués à des dizaines de milliers d’euros. L’archipel est habitué ces dix dernières années à des pluies torrentielles mais pas à des cas extrêmes d’inondations avec des rivières brusquement sorties de leurs lits
Comores : la situation épidémiologique du choléra s’aggrave à Anjouan
Le taux de létalité reste le même, soit 2,9% sur l’ensemble de l’archipel. Le nombre de décès a presque triplé en deux semaines, passant de 16 (fin mars) à 45 à la mi-avril, avec un nombre de cas cumulés qui passe, à la même période, de 857 à 1855. L’île de Ndzuani (Anjouan) enregistre brusquement le plus grand nombre de décès, soit 26 au total. On compte 15 décès à Ngazidja (Grande-Comores) et 4 à Mwali (Mohéli)
L’AFD apporte un nouvel appui au programme de sécurité sanitaire dans l’Océan indien
Une enveloppe de 6,5 millions d’euros vient d’être allouée par l’Agence française de développement (AFD) à un nouveau projet rénové de sécurité sanitaire dans la zone Océan indien (réseau Sega-One Health). Le nouveau programme est désormais élargi à d’autres réseaux de la région Océanie et de l’Asie du sud-est. Le donateur souhaite mettre en commun les trois réseaux de ces trois régions aux forts défis sanitaires et d’impact du changement climatique
Breaking
Grève dans l’Éducation nationale : “Un acompte ce n’est pas un salaire !”
À Mamoudzou, les personnels de l’Éduaction nationale ont participé au mouvement de grève nationale du 2 octobre. Devant le rectorat, ils ont dénoncé des salaires non payés ou amputés depuis plusieurs mois. Plusieurs syndicats, dont le FSU-SNUipp, la CGT Éduc’action et l’Unsa Éducation, se sont joints au mouvement pour réclamer des explications et des solutions rapides.
« Si la population perçoit les bus comme des espaces d’insécurité, leur succès pourrait être freiné », alerte Mohamed Hamissi
« Pas de sécurité, pas de mobilité ». C’est en substance la mise en garde de l’ingénieur qui en a fait sa spécialité. Le nombre de ses alertes dans nos colonnes, sur les mesures à prendre pour assurer la sécurité des usagers des transports publics, interpelle. Les faits violents du 15 septembre dernier lui donnent hélas raison. L’occasion de repréciser les compétences dans ce domaine
Grève du 2 octobre à La Réunion : l’inquiétude budgétaire grandit
Sous les drapeaux syndicaux, les rues de Saint-Denis ont vibré au rythme des slogans et des revendications.
Mouvement social : le MEDEF Mayotte appelle à privilégier l’écoute et la concertation
Le MEDEF Mayotte publie un communiqué relatif aux différentes grèves actuellement en cours sur le territoire, touchant notamment les transports maritimes, les services publics (France Travail) et l’énergie. Il réaffirme son attachement au dialogue social et à la reconnaissance des revendications exprimées, tout en alertant sur l’impact préoccupant de ces blocages répétés sur les entreprises, l’emploi et la vie quotidienne des Mahorais.