<p class="p1" style="text-align: justify;"><span class="s1">En question, un échange de collaborateurs avec un autre sénateur, qui, à lire l’article, a tout d’un deal de bons procédés, visant à recruter respectivement un proche sans que la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) n’y ait à redire. </span></p>
<p class="p1" style="text-align: justify;"><span class="s1">Également acteur de cet échange, l’autre sénateur, Joel Guerriau n’est pas connu pour son mode de vie exemplaire. C’est en effet lui qui est mis en examen pour administration d’une substance à une de ses collègues afin d’abuser d’elle. </span></p>
<p class="p1" style="text-align: justify;"><span class="s1">Réagissant dans l’article, Thani Mohamed explique avoir à l’époque atteint son « quota de collaborateurs » qu’il ne pouvait dépasser au regard de l’enveloppe allouée, « Joël m’a donc proposé cette formule avec l’embauche de Moussa, je n’y ai pas vu de malice ».</span></p>
<p style="text-align: justify;">Des informations qui sonnent comme des crécelles entêtantes, quelques jours après la nomination de l’ancien sénateur mahorais au gouvernement Barnier. On ne connaît pas encore la morale de l’histoire, mais son préambule est sans doute la recommandation de mieux choisir ses partenaires de deal.</p>
<p class="p1"><span class="s1">A.P-L.</span></p>
Est-ce le premier effet des trompettes de la renommée, chères à Brassens, mais à peine nommé Secretaire d’État, Thani Mohamed Soilihi pourrait juger qu’elles sont mal embouchées, puisqu’il est à l’honneur d’un article du jour du site d’investigation Mediapart.
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