Depuis un demi-siècle, la culture mahoraise se trouve bouleversée par l’urbanisation et l’application du droit commun français. Ils modifient l’organisation sociale et l’espace. Toutefois, il semble bien que les mahoraises restent majoritairement propriétaires des maisons familiales et du foncier.
Placé sous le haut patronage de la Directrice Régionale aux Droits des Femmes et à l’Egalité, Manarssana BOINA, le CAUE de Mayotte souhaite recueillir les témoignages des mahoraises qui construisent leur maison, pour elle, pour leurs filles, pour leur famille, afin d’exprimer comment la tradition s’est frayée un chemin au travers de tous les bouleversements urbains et sociétaux. Le recueil des témoignages sera confié à une écrivaine locale pour en dégager un ouvrage.
Pour participer : contact@caue976.fr