Les coffres d’amarrage des barges n’ont pas résisté au cyclone Chido, deux d’entre elles se sont échouées l’une près du quai Issoufali en Petite Terre, l’autre pointe Mahabou.
Une opération de retrait de la Salama Djema 3, barge échouée sur le quai Issoufali est menée ce mardi après-midi, impliquant la mise en place d’un périmètre de sécurité, indique la préfecture.
Fermeture des portes pour le magasin « Jéjé » de Dzaoudzi, et du parking. « La population est invitée à laisser l’accès libre aux équipes d’intervention et à ne pas entraver les opérations ».
La Saffari Djema échouée pointe Mahabou avec des bateaux de particuliers
Aux côtés de la barge, les deux vedettes de la gendarmerie maritime L’Odet et le Verdon sont elles aussi échouées. Les consignes ne sont semble-t-il pas les mêmes que pour la marine marchande puisqu’au port de Longoni, aussitôt l’alerte « orange » annoncée, les navires ont été aussitôt sortis du port.
De très nombreux bateaux de plaisanciers ont également fait les frais de la violence du cyclone Chido, et notamment le catamaran du regretté Jacky Hezette, échoué renversé pointe Mahabou. Une grande opération de renflouement et de déséchouement devra également être menée.
Sous un soleil pesant, mais dans une atmosphère marquée par la fierté et l’émotion, le Centre Hospitalier de Mayotte (CHM) a inauguré ce mardi matin deux projets d’envergure : un nouveau service de néonatalogie entièrement modernisé et des scanners de dernière
génération. Des investissements structurants rendus possibles grâce à une enveloppe exceptionnelle de plus de 30 millions d’euros issus du programme REACT-EU de l’Union européenne.
Le 22 juin prochain, cinq jeunes de 18 ans vont s’envoler direction l’Espagne grâce au nouveau programme “Discover EU” du Centre régional d’information jeunesse de Mayotte (CRIJ), lancé ce mardi 17 juin. Entre Barcelone, Tarragone et Valence, le groupe va visiter plusieurs musées et sites historiques mais aussi aller à la rencontre de la jeunesse espagnole. Une expérience inspirante pour ces jeunes, principalement étudiants mais aussi aux parcours scolaires difficiles, qui forge l’autonomie.
Un couple comparaissait ce mardi pour l’aide à l’entrée ou au séjour irrégulier d’un étranger en France et pour soumission de personnes vulnérables à des conditions d’hébergement indignes. Il leur était reproché d’être de potentiels marchands de sommeil.