Depuis deux jours, il ne s’agit plus de barrages « officiellement tenus » par le collectif et l’intersyndicale. Des barrages qui oscillent entre des dissidences du mouvement, et des sauvages. les inamovibles restent Longoni, Chirongui et Tsararano. A Chiconi, Coconi, ce sont des barrages filtrants, et à Koungou on circulait sur une seule voix à midi. Les gendarmes sont arrivés depuis, pour assurer la libre circulation. Devant le lycée de Tasarano, des personnes sont intervenues pour bloquer l’accès, qui n’est rendu possible qu’à pied.
Quand au Four à Chaux, il ne s’est pas reconstitué depuis l’action de la gendarmerie ce mardi soir.